CHARLES DE GAULLE, NICOLAS SARKOSY, EUROPE, REPUBLIQUE TCHEQUE, EURO

Publié le par lavapeur

Clic sur la photo et tu les verra en grand, les mères noël.


L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous dresse le bilan de NICOLAS SARKOSY, maître de l'EUROPE, après les illuminatis et les sionistes!


Présidence française de l'UE : Sarkozy fait le bilan devant les eurodéputés.


Hier [Mardi 16 décembre 2008] Nicolas Sarkozy est venu présenter le bilan de la Présidence française de l'Union européenne devant le Parlement européen, réuni en Congrès à Strasbourg, "comme il est coutume après chaque Sommet européen pour la présidence en exercice" [La Croix].

"Pour la troisième fois en six mois de présidence française Nicolas Sarkozy est venu faire ses adieux à l'issue d'un semestre particulièrement agité" [Libération], assurant aux députés qu'il a "beaucoup aimé le job", lors de son discours d'introduction.


Le Président français a débattu avec les eurodéputés et les officiels européens, qui "ont rendu un hommage presque unanime au travail qu'il a effectué au cours des six derniers mois" [Les Echos].

Ainsi, le Président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a salué "une présidence exceptionnelle" marquée par "une gestion avec sang-froid, maestria et panache", qui a "fait naître une véritable Europe politique, acteur écouté et respecté dans le monde" [La Croix].

A son tour le chef du groupe socialiste européen, Martin Shultz, a reconnu que le bilan français "n'était pas mal du tout", soulignant que la présidence française "a fait avancer l'Europe", notamment grâce a l'accord conclu par les 27, qu'il qualifie "d'exceptionnel" [La Croix].

Si certaines critiques sont venues relativiser ce concert de louanges, La Croix ne recense que "peu d'attaques frontales" à l'égard du président français, à l'exception de Daniel Cohn-Bendit qui a estimé "méprisé le rôle codécisionnaire des députés européens dans la nouvelle législation sur le climat" ou encore l'attitude de la France face à la Chine : "vous n'avez pas humilié les Chinois. C'est les Chinois qui vous ont humilié", a-t-il déclaré [AP, Yahoo! Actualités].

Le député socialiste Bernard Poignant a également regretté "la crise du couple franco-allemand", sentiment partagé par l'eurodéputée Marielle de Sarnez, de l'Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe.

Au terme de son discours, le président français a appelé la prochaine présidence à modeler "une Europe ambitieuse".

Cette tâche s'annonce doublement compliquée pour la République tchèque, qui doit prendre le 1er janvier la présidence tournante de l'Union européenne.

"Non seulement elle va devoir rivaliser avec le bilan de la présidence française, fort d'un accord sur le paquet climatique, un plan de sauvetage des banques et une remise en marche institutionnelle, mais elle va aussi devoir gérer un Nicolas Sarkozy envahissant" [AP, Yahoo! Actualités], puisque ce dernier "compte rester sur la scène européenne" [La Croix].


Une tâche doublement compliquée enfin, en raison de "la réputation de la République tchèque entachée par son eurosceptisme, qui est moins due à la population elle-même qu'à ses dirigeants, et surtout, au caractère extraverti du président Vaclav Klaus" [Le Monde]. De plus la République Tchèque n'a pas ratifié le traité liberticide de Lisbonne ET NE FAIT PARTI DE LA ZONE EURO!!

Ce leadership des grands pays européens sur la marche de l'Union, souhaité par Monsieur Sarkozy, risque de "creuser les divisions que l'on croyait oubliées en Europe. C'est aussi ce qui explique la méfiance de l'Allemagne à l'égard de l'agitation sarkozienne, Berlin estimant que le chef de l'Etat français joue avec des allumettes : la domination brutale des grands Etats est justement ce qui a amené le Vieux continent au bord du désastre" [Libération].

Nicolas Sarkozy, au terme de la présidence française, a "profondément modifié les équilibres de cette nouvelle Europe, plus sûre d'elle-même. Elle n'est plus celle dont rêvaient ses pères fondateurs : on est plus proche de l'Europe des Etats, où tout se décide à l'unanimité, dont de Gaulle rêvait, que de l'Europe communautaire classique" déplore Libération.

Mais ce bilan est terni à cause du ministre MICHEL BARNIER, qui avec son collègue, l'inénarrable HERVE GAYMARD, en gaspillé comme à leur habitude l'argent des con----tribuables, en des dépenses somptuaires dans les hôtels de luxe d'ANNECY( avec bobonnes et secrétaires tranformées en poupée dégonflable), pour un faux sommet des ministres de l'Agriculture de l'EUROPE; alors que la FRANCE est en guerre et en crise.

Hervé GAYMARD, en sa qualité de Président du Conseil Général de la Savoie a perdu 500 000euros destinés à une maison de retraite de la ville de MOUTIERS,située dans le canton où il est con--seiller général!


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