L'INJUSTICE est une METIER, PROCUREUR et PROTOCOLES DE TORONTO

Publié le par lavapeur

L'ECHO DES MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous prévient une fois pour toute:
                    
                    L'INJUSTICE est un METIER

              l'INJUSTICE EST UN METIER.
 
 
Un Procureur entre des gendarmes ? 

 
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PARIS, « Ce n’est pas la justice pour laquelle je m’étais engagé ».  Déplore Yves BOT, procureur général de Paris, évoquant une « véritable catastrophe ». (PHOTO « LA VOIX DU NORD »  GUY DROLLET) 

 
 
Voilà une image qui a de quoi surprendre ?   
Dans le cadre de sa profession,  un procureur amené par des gendarmes.   
- « Ce n’est pas la justice pour laquelle je m’étais engagé ! »  Nous dit le procureur BOT Yves.   
 
On peut le comprendre.  Néanmoins,  c’est pas clair.  Existerait-il plusieurs justices ?  De quelle justice parle t-il ?   
La petite histoire nous apprendra que le procureur BOT Yves est mis en examen pour avoir fait des faux et trafiqué un dossier judiciaire.  Un seul dossier judiciaire !!!  Seulement !!!   
 
Là,  on ne comprend plus du tout.   
Il n’y a pas de quoi fouetter un chat.  Encore moins de mettre un procureur de la République en examen pour si peu.   
Dans le monde de la justice,  c’est une habitude.  Les procureurs de la République fabriquent des faux et trafiquent les dossiers à longueur de jour,  et de vie.  On peut même préciser que c’est là leur fonction première.  Savent-ils d’ailleurs faire autre chose ???  La suite va nous éclairer.   
 
 
Dans la réalité,  cette image est une parfaite carte professionnelle.   
D’ailleurs,  Yves BOT est aujourd’hui rapporteur au plus haut niveau de la Cour de justice des communautés européennes.  C’est tout dire !  Peut-on espérer mieux ?   
Là au moins,  monsieur BOT Yves est dans son élément.  Entouré de magistrats de même culture,  il est dans sa justice à lui et ne craint plus les gendarmes.   
 
 
Yves BOT est au service du grand capital.  (Le capital de la Dette publique)  
Le capital de la Dette publique,  c’est pour la France cinq fois le budget net de l’État.  Ce qui donne une petite idée pour l‘ensemble des pays européens.   
 
Ce grand capital est entre les mains de gens qui gagnent à pourrir la vie du plus grand nombre.   
D’ailleurs ce grand capital se construit grâce à la misère,  aux malades,  aux conflits,  aux désordres,  aux émeutes,  etc.  Etc.  Le grand capital est le fruit de la pauvreté et des malades.   
 
Bref !  Le grand capital ne gagne rien à venir à bout de toutes les généreuses sources de profit que l’on vient de citer.  Bien au contraire.   
 
Yves BOT est dans son élément.   
Au-delà des sources de profits mille fois rebattus et généreusement affichés par les médias,  il ne faut pas oublier les malades.   
  L’important,  c’est d’être malade.  
Le malade est l’industrie première.  Une population malade est une population soumise.  On vient au monde malade,  on ne peut être bien portant qu’en prenant des médicaments.   
 
On a compris !  Les malades,  cela se fabrique.  Bien sûr,  il y a les artifices techniques,  dits scientifiques.  Les mensonges des journalistes,  les virus imaginaires,  les racontars de médecins et les artifices qui permettent de transformer allègrement les bien portants en malades.   
Pour fabriquer des malades,  certains « médicaments » ne sont-ils pas conçus pour cela ?   
 
Mais aussi,  pour développer son profit et asservir les individus,  le Capital de la Dette publique spécule beaucoup sur la drogue.  La drogue qui produit bon nombre de généreux malades.   
Si l’on imagine facilement qu’en amont,  le trafic de la drogue est un business ultra lucratif,  en revanche on ne nous dit pas qu’en aval,  le plus gros profit se situe au niveau de l’hospitalisation des malades générés par la drogue.   
 
On comprend pourquoi le Grand capital finance généreusement les politiques et les groupuscules associatifs qui militent pour la légalisation de l’usage de la drogue.   
Un drogué est un malade.  Mais,  c’est aussi un électeur facile et bien obéissant,  dès l’instant où l’on ne complique pas trop le discours.   
  Générer du PIB.   
Toutes les misères,  les émeutes,  les destructions de toute nature,  les « casses » plus ou moins orchestrés par le pouvoir,  quelquefois le terrorisme d’état,  les malades voulus et fabriqués en grand nombre.  Tout cela c’est du généreux et bon PIB.   
 
Le PIB c’est de la croissance.  La croissance c’est le pays qui s’enrichit.  Quand le pays s’enrichit c’est de l’argent pour ceux qui en ont besoin.  Va sans dire de l’argent pour les riches.  Pour être pauvre,  on n’a pas besoin d’argent.   
  La justice européenne est à la botte du Grand capital !   
Yves BOT est dans son élément.  Il peut enfin,  tout à loisir se livrer à ses petits plaisirs.  Racketter le domaine privé,  le domaine public et notamment faire main basse sur les fonds sociaux.  (C’est pour aider les plus pauvres.)   
 
 Pour se faire,  il bénéficie de la complicité intéressée des élus de tout poil.  
Les uns couvrent les autres et inversement.  Les autres se retranchent derrière la décision des uns.   
Les uns sont nommés par le Grand capital,  les autres sont élus.  (Les magistrats sont nommés.  Les politiques sont élus.)   
 La promotion de monsieur BOT Yves a été soigneusement étudiée.  
Une promotion n’est pas le fruit du hasard.  Les diplômes bidons,  les titres à perte de vue démontrent un individu asservi au système.  Pour autant,  cela ne suffit pas pour asseoir une telle promotion.   
Les faux et trafics de dossiers,  ne font pas non plus la différence avec la masse des magistrats.   
 
Le Grand capital a besoin d’individus sûrs.  Sans effort particulier,  chacun a deviné l’élément déterminant par lequel un procureur est asservi et cela est prouvé par l'article 23 des PROTOCOLES DE TORONTO.
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